(Personnage de : Lucile*Lux)

Nom :   Sigda Moonbane

Age : 19 ans

Sexe : Féminin

Apparence :

Caractère : 

Sigda est une femme douce et sincère avec les gens qu'elle aime et en qui elle a confiance. Elle utilise son intelligence et sa ruse pour manipuler ou obtenir ce qu'elle désire ou pour se protéger. Elle joue les femmes douces et soumises lorsqu'elle se sent en danger ou dans une situation délicate.

Elle a également un temperament très doux,toujours calme et très silenciese,cependant elle est très curieuse du monde qui l'entoure.Malgrès son air naif,elle est beaucoup plus intelligente que certains le pensent.

Histoire :

Sigda a grandi au sein de sa famille  dans le village de Kondaa dans lequel il y avait de nombreux artisans en plus des métiers liés à la survie.Les revenus de sa famille sont difficiles à évaluer mais préfère vivre légèrement en marge de la civilisation et vie de métiers tels que la chasse et le travail agricole...Mais durant son enfance,elle apprit plutot l'art de la manipulation,et comment bien honorer leurs dieux,elle est très croyante ayant prété serment très jeune.

Elle souhaite un jour découvrir de nouveaux lieux mais par peur du jugement des autres préfère attendre le bon moment pour partir.

Informations complémentaires :

(Personnage de Lone Cloud, autrement dit Lone la Chiante, autrement dit Lone la Plagieuse)

Nom : Keisuké (se prononce késsuké, pas kézuké)

Age : 15 ans

Sexe : M

Apparence : Il a une apparence très banale. Plutôt maigre car il n'a jamais l'appétit, les cheveux un peu longs et mal coiffés car il n'est pas d'humeur de se coiffer, l'air blasé et mal réveiller, comme s'il aurait préféré être en train de dormir. Il est grinchon, ne sourit jamais, grimace la plupart du temps. Il a les yeux bruns et les cheveux bruns. Oui, ultra banal.

Caractère : Il est colérique, rarement de bonne humeur, râleur. Il a été connu pour ces traits de caractères négatifs depuis son enfance. Il ne parle à personne volontairement, c'est toujours les autres qui lui parlent en premier, et Keisuké répond la tête baissée, fixant ses pieds, marmonnant, voulant que la personne termine son discours au plus vite. C'est pas qu'il est impatient et qu'il veut reprendre ce qu'il faisait avant, il ne semble jamais en train de faire quoi que ce soit de personnel. Il aide dans les champs ou dans les enclos, mais il voit tout ça comme des corvées, mais il n'a pas de passe temps ou loisirs non plus. En fait, il est inquiet qu'on découvre son crime, et essaie de se tenir à l'écart. Même avant cet évènement, il n'était pas sociable. À part ça, c'est quelqu'un dont la curiosité et le désir de trouver un endroit où il aura le sentiment d'appartenance sont presque complètement écrasés par la flemmardise, c'est quelqu'un de simple et sans forte ambition, qui a envie de quitter Kondaa, mais qui a peur de partit tout seul. Il est solitaire, mais il est quand même peureux et n'aime pas le danger. Il se fichtre de sa réputation et la plupart des choses dans la vie. Il n'a pas vraiment de morale, il sait que c'est mauvais de voler et de tuer, par exemple, mais c'est juste que franchement, il se fichtre et ne sait pas ce qu'il veut.

Histoire : Keisuké avait une soeur jumelle, Sakii, et les deux ne se sont jamais bien entendus. La famille était une famille basique, paysans comme presque tout le monde, donc rien de particulier au niveau de la naissance. Sakii était la chouchoute de tout le monde, pour des raisons évidentes. Elle était lumineuse, sociable, et savait se faire plaire. Keisuké se fichait un peu de sa réputation, et donc ne travaillait pas si on ne lui demandait pas de le faire, était connu pour être un flemmard et avait tendance à râler et à se plaindre quand on lui réveillait lors de ses siestes. Il était simple, n'avait pas de passions, d'ambitions, n'avait pas une très bonne connaissance de soi, vivait sa vie, quoi. Il n'était pas vraiment religieux non plus, les gens autour étaient religieux donc c'est dur d'être athée, donc il n'est pas athée, croit en dieux, mais n'y consacre pas sa vie, n'est pas pieux. En grandissant, Keisuké se rendit compte de tout cela, qu'il n'appartenait pas à la communauté, et qu'on le trouvait difficile. Il n'était rancunier envers personne, il n'était pas jaloux non plus. Mais il découvrit aussi qu'il voulait partir de Kondaa, qu'il voulait voir le monde. Pour trouver un endroit dans lequel il pourra trouver un sentiment d'appartenance. Tout simple. Il n'avait pas un fort désir de sortir de Kondaa, il n'était toujours pas très ambitieux, même en étant différent, quand on grandit dans un environnement simpliste, difficile d'être ambitieux ou pionnier d'un nouveau courant philosophique. De toute façon, Keisuké a toujours été quelqu'un de mou et léthargique. Même en étant mou, il finit par faire des pas dans la forêt, la curiosité vainquait légèrement la flemmardise.

Un jour il fut rejoint par sa soeur, il ne s'y attendait pas, mais elle voulait mieux le connaître, l'aider à s'intégrer, "je suis ta soeur après tout". Elle était devenue le genre à faire rire même les plus introvertis, c'était normal pour elle, surtout vu que Keisuké tentait de l'éviter durant toute son enfance, car elle était toujours entourée de gens et socialisait avec presque tout le monde, ils ne se sont jamais vraiment connus même en étant jumeaux. Là Sakii voulait faire des pas envers ceux qui socialisaient moins, en commençant par son frère. Les adultes disaient que le cas de Keisuké, c'était normal, "l'immaturité", puis "l'adolescence", qu'il allait finir par apprendre, et que certains naissent plus difficiles que d'autre. Donc Sakii commença la conversation. "T'es toujours tout seul." Keisuké fixait les racines des arbres, donc le sol, finit par bafouiller qu'il voulait bien quitter Kondaa, voit le monde extérieur. "Mais non ! Ta place est là, ici ! Ne te sens pas à l'écart, je vais t'aider !" Keisuké fut frustré, puis en colère, car Sakii l'avait mal compris, ou tout simplement ne le comprenait pas, peu importe. Il ne s'intéressait pas à finalement s'intégrer ou à parler aux gens. Lorsqu'elle lui parla, il se rendit compte qu'il voulait qu'on le laisse tranquille. Voilà. Qu'il voulait pas rester à Kondaa et faire comme les autres. C'est pas qu'il voulait être différent, c'est que tout simplement, Kondaa, c'était pas ce qui lui plaisait. L'important, c'est qu'il finit par se rendre compte qu'il l'avait tuée. Juste comme ça, sans se rendre compte. Il eut immédiatement la culpabilité. Il avait tué quelqu'un.

En sortant de la forêt, Keisuké ramena le corps de sa soeur au village. Elle s'est fait tuer par une bête sauvage, un animal féroce, pensa tout le monde. Keisuké, malgré son caractère difficile, n'avait jamais montré quoi que ce soit qui pourrait suggérer qu'il est capable d'un meurtre. En plus, il était attristé. C'est clairement pas lui. On ne pensa même pas à la probabilité que c'était lui. Quand au coupable, l'anxiété qu'on découvrirait son acte le rongeait, il devint de plus en plus désagréable. Il voulait partir, mais il avait peur, il ne se sentait pas encore prêt.

Informations complémentaires :

Okay, j'ai fait une fiche. Pas très développé, pas très long, assez banal comme perso. Mais j'ai essayé de ne pas faire trop cliché, j'ai pas fait le "je suis jaloux du fait que ma soeur est meilleure et plus populaire". Quand même.

En fait... j'ai pas pensé à Lièr. Le perso... s'est juste créé lui même.

Ouais, quand on fait pas très attention, on répète un peu les mêmes schémas. Mais Keisuké a beaucoup d'espace pour développer lors du RP.

(Personnage de Lone, la meuf avec 50 de QI)

Nom : Ayuma

Age : 22 ans

Sexe : M

Apparence : C'est un jeune homme grand en taille et athlétique, mais assez mince pour être un peu androgyne. Il est fort en combat et manie aussi bien la lance que l'arc. Il est presque toujours souriant. Il a des très longs cheveux dorés, qui lui dépassent la hanche, qu'il attache en queue de cheval basse. Il est plutôt fier de ses cheveux. Il est plein d'énergie mais détendu, et il n'est pas du tout intimidant malgré le fait qu'il porte ses armes sur soi. Il porte généralement une armure en cuir sous ses vêtements qui sont plutôt longs et souples.

Caractère : Ayuma est un jeune homme qui refuse de tenir en place. Ses aînés le décrivent souvent comme un ado chiant et rebelle qui a dépassé l'âge, et lui disent qu'il est puéril, immature, qu'il refuse de grandir. On peut voir d'où ils en viennent. Ayuma déteste lire, n'aime pas s'asseoir tranquillement pendant plus de 5 minutes, interrompt les gens, n'aime pas qu'on lui parle pendant plus de 3 minutes. Il manque de respect à la religion et la théologie, surtout parce que ça l'ennuie, donc il n'est pas très croyant non plus. Malgré son manque de discipline et de respect, c'est quelqu'un de très apprécié par le reste du peuple, notamment les enfants. Ayuma est sympathique, il est très facile de s'entendre avec lui, en fait, il est parfaitement capable d'écouter un autre tant que cet autre n'est pas un prêtre qui lui fait la leçon ou la morale. Volontaire de donner un coup de main à tout moment à quiconque (sauf un prêtre qui lui fait la morale), il joue aussi souvent avec les enfants. Il a une mentalité plutôt simple dans la vie. Il aime être actif, il est concret et terre à terre, ne s'intéressant pas à tout ce qui est trop spirituel ou compliqué, ou comme il le dit, ennuyeux.

J'ai dit qu'il aime pas qu'on lui fasse la morale. Ayuma n'est pas une mauvaise personne, c'est quelqu'un de "naturellement bon", si on peut dire comme ça, il est serviable sans qu'on lui dise de l'être. Car il aime être actif, quoi. Il aime tout ce qu'il fait, donc il a la réputation d'être travailleur, par contre, il refuse de faire ce qu'il aime pas faire. Comme écouter des discours. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, ce n'est pas un con bourrin têtu. Ayuma est pas érudit mais sait utiliser sa cervelle face à des difficultés.

Histoire : C'est le fils d'un membre du clergé qui voulait absolument qu'Ayuma devienne prêtre comme lui. Grâce au statut de son père, Ayuma vivait dans des meilleures conditions matérielles que la plupart des enfants de son âge. Il mangeait plus et plus varié ainsi qu'avait plus de temps libre. Par contre, il détestait la théologie, il n'avait pas de raison particulière pour détester ça, peut-être c'est juste car il tient pas assez en place pour comprendre et écouter. Mais l'important, c'est que ça entraîna de nombreuses disputes avec son père lorsqu'il grandit. Son père répétait que prêtre était le meilleur boulot possible à Kondaa, que c'était le métier le plus haut placé et le plus respecté, et qu'il avait la chance d'être bien né, donc il devrait faire bon usage de cette chance. Ayuma se fichait du statut et du fait d'être bien né, il voulait faire des choses qui lui plaisaient. Un jour, après une très grosse dispute, Ayuma s'enfuit. Son père ordonna aux gardes de le pourchasser. Bien sûr, un garçon ne court pas plus vite que plusieurs gardes, donc il finit par se faire attraper. Il décida d'essayer d'argumenter aux gardes, mais ceux là répondirent "on suit des ordres", car le père avait quand même beaucoup d'autorité. Soudain, surgit un monstre. Les gardes, pris par surprise, firent de leur mieux pour défendre le fils du prêtre.

Le combat fut difficile, et un des gardes tomba à terre. Ayuma surprit les autres en prenant l'arme du garde à terre et en se jetant dans la bataille. Il ne s'était jamais battu de sa vie, donc finit fortement blessé. Malgré cela, le plus âgé des gardes reconnut son talent pour le combat. Lorsqu'il fut ramené chez son père, le garde tenta de convaincre ce dernier de laisser son fils devenir garde. "Il est très doué, croyez moi, il aura beaucoup de gloire et de succès en tant que sentinelle". Et c'est ainsi que son père fut finalement convaincu. Peut-être il s'était juste lassé de se disputer avec son fils, peut-être il reconnu que son fils vivrait mieux ainsi. Ayuma, malgré ses blessures, était souriant et fier de l'approbation des gardes. Donc Ayuma se mit à s'entraîner dur une fois guéri. Aujourd'hui, Ayuma est un garde très respecté, mais il a tendance à enfreindre certaines règles et aussi à faire les choses trop en solo, et se fait réprimander parfois. Il a tendance à attaquer tout seul, c'est un homme très indépendant même si c'est une personne sociable.

Informations complémentaires :

Y a qui d'autres comme intéressés ?

Il y à moi aussi, je me fait un peu discrète ^^"

Je suis en train de me faire un personnage, je l'étoffe un peu plus à chaque fois que j'ai du temps libre, mais j'essayerais de rendre sa fiche assez rapidement, sinon je joindrais l'aventure plus tard, j'ai vu que c'était malgré tout possible ^^.

Du coup ? On commence à quel lieu ?

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Salut ^^

Désolé pour avoir mis plus de temps que prévu, j'ai été pas mal débordée ses derniers temps.. d'ailleurs je poste mon personnage mais ne serait pas entièrement disponible avant le 10 octobre, donc je ne promet pas de pouvoir passer avant cette date. ^^"

(Personnage de **Aeda)

Nom : Hasvea (Svea)

Age : 20 ans

Sexe : Féminin

Apparence : Svea est assez jolie, sans être non plus une beauté fatale. C'est une femme d'apparence très douce, assortie d'un visage assez rond, de jambes aux rondeurs qui lui font parfois honte et de deux beaux yeux noisettes. Le teint légèrement halé, elle à de long cheveux bruns sombre légèrement ondulé qu'elle attache rarement. Ces cheveux sont sa plus grande fierté. Il est rare de voir un sourire étirer ses deux joues rondes en publique, elle essaye toujours de se donner un air plus sérieux qu'elle ne l'est.

Caractère : Hasvea est une jeune fille qui peux sembler assez bête aux premiers abords, naïve. Mais c'est juste parce qu'on ne lui as que rarement offert la chance d'exposer son intelligence, sa famille l'a plutôt éduquée pour rester dans l'ombre de sa parfaite de sœur. Elle peux donc sembler assez simplette, plutôt connue des siens pour être une enfant dans le corps d'une adulte sans n'avoir jamais vieillie. On ne lui a jamais donné de responsabilités, elle n'en a jamais pris. Pourtant son seul rêve est de pouvoir montrer ce dont elle est capable... seulement elle ne sait pas vraiment elle même ce qu'elle sait faire. Assez cultivée, capable de survire en pleine nature c'est sûrement ce qui l'aura sauvée de l'influence du nuage noir jusque là, contrairement à son frère ainée mort de faim.

Cela dit, contrairement à ce que l'on pourrait penser, elle à son petit caractère. Bien que gentille et ouverte, du genres à tendre la main à n'importe qui elle n'aime pas trop qu'on lui manque de respect. Du genre à s'aplatir face aux figures d'autorité ou aux gens qu'elle connait, elle est assez contraire lorsqu'elle est face à un inconnu et lui montre sa capacité à se mettre en colère. Enfin, pour ce que l'on peux appeler colère chez Hasvea.

Histoire : Petite, sa famille ne l'a jamais vraiment mise au milieu du tableau. Elle était l'enfant deuxième née de trois, au dessus d'elle, son grand-frère serviable et fort, capable d'aider la famille. En dessous, sa petite sœur, plus jeune d'un an qui était la parfaite petite princesse de la famille, belle, gentille, intelligente. Alors elle fut légèrement délaissée et eu droit à de nombreuses libertés pour ne pas déranger sa famille. Au fond se train de vie lui allait, mais elle ne voulait qu'une chose : prouver sa valeur, montrer qu'elle était capable. Seulement elle ne savait pas comment faire et personne lui en donna réellement l'occasion. Mais le danger reignat finalement sur son peuple, la mort emporta sa mère ainsi que son frère. Alors quand on lui proposa de partir explorer, il lui parut évident de se lever elle aussi.

Informations complémentaires : Sa couleur favorite est le rose pâle, presque blanc. Elle a une peur monstre des rats depuis un traumatisme d'enfance qu'elle préfère taire. Elle adore l'eau. Beaucoup.

Merci beaucoup ^^

Je vais quand même poster un premier commentaire pour suivre le fil tout de même, et peut-être que je pourrais répondre parfois mais c'est pas sûr. ^^

Bonjour !

Je ne suis pas très expérimentée en jeu de rôle mais j'aimerais bien participer. Donc, voici en exclusivité la deuxième fiche personnage que j'ai jamais écrite :

Nom : Aricien Odoacre

Age : 56 ans

Sexe : Masculin

Apparence : Aricien Odoacre est un homme assez âgé, aux cheveux poivre et sel et au visage marqué par l’âge. Ses quelques rides lui donnent un air sérieux. De longues promenades dans la ville le conservent en assez bonne forme physique. Il affiche un air grave en toutes circonstances. Son regard vif, vert laiteux, contraste avec ses mouvements d’une lenteur de sénateur.

Caractère : Aricien est un homme réfléchi et mesuré, qui aime disposer de tous les éléments avant de prendre une décision. Il est presque toujours sérieux - ou tente de l’être. Il est très digne, et souvent perspicace. Il n’aime pas se mettre en avant et est très respectueux des autres. Il croit en la diplomatie et excelle dans l'art du compromis, qui lui permet d'imposer son avis beaucoup plus souvent qu'il n'y paraît. Il est également très pieux et extrêmement attaché à sa ville. Enfin, il lui arrive quelquefois de surprendre son entourage par un trait d'humour.

Histoire : Aussi loin qu’on s’en souvienne, ses ancêtres viennent de Kondaa et lui-même n’a jamais quitté la vallée. Plus jeune, il participait aux battues contre les loups avec un certain succès, avant d’envisager d’entrer dans le clergé puis finalement de s’impliquer dans l’administration de la cité. Depuis, il n’a plus quitté l’enceinte de la ville et est devenu un membre respecté, sinon influent, du conseil.

  Petit, il dévorait des romans d’aventures entre deux leçons, une passion qui pourrait bien se réveiller un jour…

  A propos de sa famille, ses parents, très âgés, ont vendus leur élevage de lamas et vivaient paisiblement dans la ville avant l’arrivée du nuage. Leur santé s’est alors très rapidement dégradée. Ils sont très fiers de leur fils. Aricien avait également une sœur, de trois ans sont aînée, morte de maladie quinze ans plus tôt. Ils étaient très proches.

Informations complémentaires : Il ne s’est pas exprimé devant le conseil sur la conduite à tenir face au nuage, mais l’attitude d’autruche de certains le rend très anxieux.

Est-ce qu'il y a des choses à corriger ?

D'accord, merci !

Coucou tout le monde ! Me voici me voilà avec un bon train de retard. J'espère vraiment avoir le temps de vous suivre. Si ce n'est pas le cas je vous préviendrais de continuer sans moi, bien sur. En tout cas les RPs me manquent trop donc...COUCOU ! 

J'ai pas eu le temps aussi de voir où vous en êtes dans le RP, j'espère que c'est assez proche du début pour que la fiche soit en accord avec votre avancée. ET si je pouvait bénéficier d'un petit résumé ? :D 

(Personnage de Fidaè)

Nom : Bonès (le s ne se prononce pas)

Age : 18 ans. Mais à en regarder sa petite tête ronde et ses traits prononcés, tout le monde lui donne une quinzaine d’année.

Sexe : féminin

Apparence :

Bonès est un petit bout de femme. Pas bien grande, elle lève souvent le nez pour regarder la tête de ses interlocuteurs. Elle a une petite tête ronde, aux joues naturellement bien remplies et aux pommettes hautes. Avec la famine, elles se sont difficilement creusées, mais il lui en faudra peut pour reprendre du poil de la bête. Un nez accentué et des lèvres plutôt épaisses lui donnent l’impression que son visage est tout petit. Un tout petit menton et un tout petit front. Des oreilles plutôt grandes et heureusement bien collées contre son crâne. Des sourcils fins et des prunelles marrons. On distingue également des petites tâches de rousseurs, pour cause la clarté de ses cheveux bruns, aux reflets roux voir blond.

Quels beaux cheveux elle a d’ailleurs ! Si épais qu’elle se sens obliger de les attacher tous continuellement pour ne pas avoir le mouton du réveil toute la journée. Certaines mèches sont tressées, décorées de ficelles ou de plumes et ce sont souvent ses dreads qui lui servent de chouchou. Plutôt efficace.
Une épaisse frange asymétrique lui cache le front.

Caractère :

Bonès est aussi gentille qu’elle est susceptible. Très ouverte d’esprit et souriante, elle reste serviable en toute circonstance. Cela lui fait toujours plaisir de venir en aide, autant pour la personne que pour elle et son désir de se sentir utile.

Mais d’un autre côté, il ne faut pas lui reprocher beaucoup de chose au risque de la voir se braquer, se vexer bien trop facilement. Fort heureusement, elle n’est pas rancunière. Elle évitera tout lien avec la personne pendant une petite heure avant de revenir vers elle, comme si rien ne s’était passé. Et ce pour tout, de la crise de susceptibilité bien désagréable pour son entourage à la grosse dispute avec quelqu’un.

Bonès est également quelqu’un de très curieuse. Elle aime beaucoup découvrir le monde qui l’entour avec une certaine insouciance. Sa mère avait une connaissance assez affirmée des plantes médicinales et des différents moyens médicaux. Elle était reconnue par ses talents et intervenait en cas de besoin. De ce fait, depuis toute petite Bonès baigne dans la passion de sa maman et s’est intéressée avec un certain dynamisme. Elle l’a suivit et assisté, ce qui lui permet à présent d’oser apporter ses connaissances voir son savoir-faire. Elle n’hésitera d’ailleurs pas longtemps avant de prendre les devants dans une situation.

Histoire :

Bonès est née d’une gentille petite famille calme, sans histoires. Son père était bucheron, sa mère travaillait les champs et s’occupait de soigner les habitants de leur village.

Un jour, alors que Bonès se baladait dans les bois, elle découvra un petit chiot, ressemblant à un loup d’Abyssinie, et le prit sous son aile. Elle devait avoir une dizaine d’année. A cet âge, elle ne s’était pas souciée de savoir s’il était réellement abandonné. N’empêche que le chiot fut adopté, et plus ou moins dressé. Faut croire que sa famille n’a pas beaucoup cherché à s’en occuper ; c’était le chien de Bonès. Et elle le laissait erré assez librement. Tout deux ont développé une très bonne relation malgré le manque d’écoute du chien. Celui-ci la suit et la protège très volontiers. Aussi doit-il sentir la très forte attention que lui porte sa petite maitresse avec sa sensibilité aux fortes émotions. Il se montre en retour très attentif à elle.

Puis… En un an tout a été bousculé. Les nuages noirs ont masqué le soleil pour une durée de plus en plus inquiétante. Plongeant ses pauvres terres dans une pénombre peu profitable à leur agriculture. La famine s’est installée, laissant tous les habitants dans une inquiétude constante. Aby, son chien, a plusieurs fois témoignés un désire de partir pour survivre. Un besoin d’aller chercher une nourriture plus riche. Des accidents sont arrivés. Il a mordu un enfant une fois, déclenchant quelques tensions entre sa famille et celle du petiot. Bien sûr, avec le temps ces tensions se sont apaisées, mais les villageois ont commencé à le regarder d’un mauvais œil. Lui qui était si bien accueillit auparavant. Bonès a toujours refusé de l’attacher mais cet évènement a servi pour lui faire prendre conscience de la responsabilité qu’elle avait dessus. Elle lui a donné un cadre un peu plus strict, bien que toujours laxiste. Et, bornée qu’elle est, elle ne compte pas faire plus.
Bonès déplore l’état de son compagnon et ressent ce désire puissant de partir. Elle y a pensé longtemps jusqu’à ce que ce désire s’installe aussi chez elle. Pour survivre, il faut partir. Par ailleurs, elle ne se voit pas fuguer seule dans ce monde si vaste et si dangereux. Parfois, elle ose en parler mais ses parents la regardent d’un air ahuri. Bonès se prépare déjà a devoir les abandonner s’ils ne se résouent pas au départ. Elle attend patiemment que cette idée merge dans la tête de ses voisins pour espérer ne pas partir seule. En tout cas, si l’occasion se présente elle sera dans les premières à accepter.

Informations complémentaires :

Pour donner une idée approximative de la ressemblance de son chien, nommé Aby.

(Personnage de *Loooooooooone, la complotiste*)

Nom : Chisa

Age : 21 ans

Sexe : F

Apparence : Chisa n'est pas musclée, n'a pas l'apparence qu'on imagine de quelqu'un toujours en prison. En fait, elle a maigri, car qui cherche à bien nourrir les prisonniers quand la plupart des gens ne mangent pas bien. Elle ne sait pas vraiment se battre non plus, c'est juste qu'elle est émotionnelle (donc l'emporte contre des gens normaux, mais perd toujours contre des gardes). Elle est plutôt jolie en fait, ses cheveux sont bouclés, longs et légèrement en bataille, en fait elle fait en sorte qu'elle aie ce style "en bataille", car elle trouve ça joli. Elle se fiche de sa réputation, mais elle aime être jolie pour ses propres yeux. Ses cheveux sont noirs et ses yeux clairs.

Caractère : C'est quelqu'un de "marginal". Elle n'a jamais réussi à s'intégrer dans la société. Cleptomane, hyperactive et violente, elle finit souvent en prison, mais n'y reste pas pour longtemps, car c'est jamais des choses très graves. Des petits vols, des disputes avec des gens qui finissent en bagarre... Son avis là dessus. Elle s'en fout un peu. Les gens l'aiment pas, elle aime pas les gens, c'est réciproque. Elle se trouve un peu supérieure.

Chisa n'est pas une brute, elle est en fait très intelligente, elle a un fort intérêt pour la mécanique et l'invention. Dans un monde idéal, elle sera mécanicienne et ne poserait pas de problèmes pour la société, vu qu'elle a de quoi s'occuper. Elle est impatiente et a tendance à commencer des disputes puis taper les gens quand elle est convaincue que quelqu'un est idiot, fermé d'esprit, conservateur et incapable de vouloir changer d'avis. Elle n'aime pas les gens lâches, refusant d'avoir des nouvelles idées, condescendants, conservateurs et têtus. Ironique, car elle est têtue et se trouve supérieure à ces gens là. Mais elle est beaucoup mois impulsive quand elle n'a pas affaire à des gens. Elle a une bonne intuition et peut avoir de très bonnes idées, pas forcément scientifiques, parfois même un peu philosophiques. C'est une personne pragmatique. Niveau morale, elle a moins d'empathie que la plupart, car elle est exclue par la société et elle s'exclut. Elle n'a jamais tué, mais n'aura aucun sentiment pour la mort d'un con appartenant à la majorité mouton ou quelqu'un remplissant les critères des gens qu'elle n'aime pas (et c'est la plupart des gens). Mais bien sûr, elle peut très bien se lier d'amitié à des gens qui partagent ses points de vue et qu'elle respecte.

Histoire : Chisa habitait sur la côte de Kondaa, dans une communauté de pêcheurs. Elle a toujours été cleptomane, violente et hyperactive et passait son temps à faire des bêtises et à fuguer. Elle passait son temps soit à démonter un truc important qu'elle n'arrivait pas à parfaitement remonter, soit dans le coin Ses parents disaient qu'elle changera plus tard. Elle ne changea jamais.

Lorsqu’elle avait 12 ans, un petit voilier s’échoua sur la côte. Il y avait une survivante, une fille de 15 ans, Vlithryn. Chisa était la première à voir le bateau échoué donc elle y est courue sans appeler quiconque, et aida Vlithryn. Après, des adultes arrivèrent. Vlithryn ne parlait pas la langue de Kondaa, donc dut communiquer par des gestes (la plupart des gens de Kondaa prononçaient même pas son nom). On lui donner des vêtements, de la bouffe et un abri temporaire. Chisa s'intéressait fortement à cette étrangère, et passa beaucoup de temps avec Vlithryn. Elle finit par apprendre suffisamment de la langue de Vlithryn pour dire des choses basiques, et les deux filles se lièrent d'amitié même sans avoir de vraies conversations. Chisa passait son temps au bateau échoué, à fouiller et à trouver des objects bizarres, à étudier cette technologie avancée inconnue au peuple de Kondaa. C'est là qu'elle eu son intense curiosité pour la mécanique.

Vu que personne ne pouvait réparer le bateau, Vlithryn finit par partir à pied, en contournant les montagnes. Chisa demanda pourquoi personne ne cherchait à comprendre et reproduire cette technologie qu'on trouvait sur le bateau. Elle eut donc une opinion très négative sur la société qui l'entoure. Elle voulait retrouver Vlithryn.

Elle grandit et ses bêtises devinrent de plus en plus graves. On commença à la mettre en prison, et tout cela se répéta. Elle sait encore parler un peu de la langue de Vlithryn (y a pas grand chose qu'on peut faire dans une cellule. Donc quand elle ne crochète pas, elle se parle à elle même. Impossible de faire des progrès, mais possible de ne pas dégrader).

J'ai fait un peu plus court que d'habitude. Disons que j'ai tout écrit en cours de français et que j'ai eu la flemme de trouver des trucs à rajouter.

Elle peut rejoindre le RP maintenant.

(Non. Elle est pas flemmarde à rien faire comme Keisuké. Elle te donne une baffe si tu la traites d'ado dark.)

(Keisuké est beaucoup trop flemmard pour être cleptomane ou taper les gens.)

Je m'ennuyais en cours de français. Donc j'inscris ce perso en avance. Il sera pas joué pour bien un moment, je sais. Mais j'étais en COURS DE FRANÇAIS. Faut bien que je fasse un truc pour empêcher le ragnarok.

(Personnage de *Lonelonelone*)

Nom : Cheo-sull

Age : 56 ans

Sexe : M

Apparence : C'est un homme qui a l'air plus vieux qu'il l'est, aux long cheveux gris, petit en taille, maigre mais encore en bonne forme, agile. Il a de nombreuses cicatrices, sa peau est sèche et rude, assez sale, il n'est pas très attrayant ayant vécu plusieurs dizaines d'années dans la nature sauvage.

Caractère : C'est quelqu'un de solitaire et taciturne, qui aime la tranquillité, le fait d'être loin du monde. Il est reposé et libre. Il refuse d'être impliqué dans que ce soit et veut rester tranquille et solitaire. Il est simple et veut rester simple. Sa jeunesse a été marquée par la tragédie, et désormais il a perdu tout espoir, tout optimisme. C'est justement pour ça qu'il profite de la vie. Sans ambition, sans aucun but, le coeur vide, il est heureux. Simple, mais heureux. Il est observateur et attentif aux détails. C'est l'avantage d'avoir rien dans l'esprit, on remarque les petites choses. Au fond, il est quand même gentil, mais il est quand même un peu timide pour aucune raison.

Histoire : Cheo-sull était un soldat dans un pays de l'autre côté des Monts Bleus. Lorsqu'il avait 17 ans, il fut conscrit dans l'armée à cause d'une guerre. Perdu (métaphoriquement, hein), l'adolescent naïf se laissa faire emporter par le "fleuve de la vie", c'était celui qui n'avait rien de spécial, aucune ambition, le Jean Paul lambda qui réagissait à ce qui tombait devant lui. Il subit l'entraînement et quand il eut la meilleure note au tir à l'arc et à la survie, il fut placé dans une escouade d'archers qui opérait principalement dans les Monts Bleu, dans des cachettes, à prendre les ennemis par surprise.

La guerre dura une bonne dizaine d'années et il survécut tout le long par miracle. Pas spécialement fort ou endurant, c'était par pur hasard. Les flèches touchaient toujours les deux soldats à ses côtés et jamais lui. C'était toujours les autres qui tombaient gravement malades. C'était plus malchance que chance. Cheo-sull subit un grand nombre de pertes, son monde était complètement brisé. Tous les amis qu'il faisaient mouraient quelques semaines plus tard, donc il devint de plus en plus renfermé et arrêta de rire et boire avec les autres de son régiment. Il sombrait dans le désespoir et la déprime. Il était fatigué, n'en pouvait plus. Son seul espoir, c'était de retourner voir ses parents, sa soeur et sa copine. Et c'était sa motivation de rester dans l'armée, à chaque fois que les généraux répétaient leur discours sur le patriotisme et la défense de la patrie, il pensait à sa famille.

Et ensuite, la guerre prit fin, son pays capitula. Donc c'était tout pour rien ? Toutes ces pertes, toute cette dureté qu'il endura ? Tout ce sang, ces larmes, cette sueur ? Cheo-sull refusa d'accepter. Et il entendit aussi que sa ville natale avait été envahie et que les soldats ennemis se sont amusés à tuer les civiles. Donc sa famille était morte. Donc ses 10 années de souffrance, c'était pour aucun but. Incapable de faire face à la réalité, Cheo-sull resta dans les Monts Bleus alors que tout les autres rentrèrent. Même quand on lui dit qu'il restait des chances que sa famille aie survécu.

Et il ne partit pas. C'est un ermite, et il connaît très bien les montagnes. Il se sent libre et tranquille, et apprécie la vie solitaire dans la nature sauvage. Quand il voit des voyageurs passer, il essaie de les aider en leur apportant un peu de gibier, pour montrer sa bonne volonté, même s'il ne parle pas leur langue.

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